Julie Rivière
Il y a un Nom, une Famille et par-dessus tout une Région, un » Terroir » même. Je suis faite de traditions, je me nourris de l’éducation et du savoir faire que m’a transmis ma Maman, Chef de cuisine, et qui fut mon principal Maître d’apprentissage.
La Cuisine c’est avant tout de la sincérité, de la passion, du goût. Quand je cuisine, je laisse parler mon cœur. J’ai toujours suivi mon instinct, ce que je ressens, je l’exprime à travers mes plats, que j’épure afin de ne conserver que l’essentiel. Mes assiettes sont le reflet de ma personnalité et dévoilent mes émotions. Après 15 ans de pratique, je suis toujours aussi motivée, j’évolue chaque jour. Le monde et la cuisine ont changé, et changeront perpétuellement.
Mon équipe et moi-même, aimons vous donner du plaisir à manger nos plats.
Pour moi cuisiner » c’est vivre et encore vivre ! «

Julie Rivière
Il y a un Nom, une Famille et par-dessus tout une Région, un » Terroir » même. Je suis faite de traditions, je me nourris de l’éducation et du savoir faire que m’a transmis ma Maman, Chef de cuisine, et qui fut mon principal Maître d’apprentissage.
La Cuisine c’est avant tout de la sincérité, de la passion, du goût. Quand je cuisine, je laisse parler mon cœur. J’ai toujours suivi mon instinct, ce que je ressens, je l’exprime à travers mes plats, que j’épure afin de ne conserver que l’essentiel. Mes assiettes sont le reflet de ma personnalité et dévoilent mes émotions. Après 15 ans de pratique, je suis toujours aussi motivée, j’évolue chaque jour. Le monde et la cuisine ont changé, et changeront perpétuellement.
Mon équipe et moi-même, aimons vous donner du plaisir à manger nos plats.
Pour moi cuisiner » c’est vivre et encore vivre ! «
Le 23 Clauzel, la recherche de l'excellence
Une cuisine féminine, une haute exigence dans le service, un décor baroque chic ; pour sa 4ème affaire Julie Rivière a créé un univers qui lui ressemble en quête d’une ambition non dissimulée : l’obtention d’une étoile Michelin.
Elle dit entretenir un rapport fusionnel avec sa cuisine et n’a pas peur de s’enfermer tous les après-midi, durant 3 mois, à la recherche d’une recette inédite de macaron. Julie Rivière, l’autodidacte qui a appris au côté de sa mère, chef dans le Sud-ouest, s’est entourée d’un second, formé chez les plus grands étoilés (Guy Savoy, Grand Véfour, Lucas Carton). Ce duo complémentaire propose une cuisine épurée où le produit n’est pas dénaturé mais sublimé. Les noix de Saint-Jacques sont cuites meunière et servies avec truffes de Bourgogne sur une tombée d’épinards sautés minute. Le chef aime cuisiner les légumes anciens ou les poissons et fuit les plats en sauce. Sa Daurade est servie avec une mosaïque de légumes et une tappenade d’olives noires. Elle dit de sa cuisine qu’elle est assez féminine, entendre légère, mais propose tout de même un filet de bœuf avec escalope de foie gras poêlée, truffes et gratin aux pommes de terre.
Sensible à l’éducation du palais, elle mise sur un assaisonnement parfait, point de salière sur les tables, chez Julie Rivière il faut d’abord goûter avant d’oser réclamer l’or blanc et le poivre. La recherche d’harmonie, autre maître mot du lieu, pousse à changer la carte des vins en même temps que celle des plats, trois fois par an donc. Il s’agit d’une cave prestige où l’on trouvera toujours un Château Margaux, un Pomerol, un Volnay ou encore un Puligny Montrachet.
La pâtisserie maison est tout simplement divine. On ne sait que choisir.
L’atmosphère du lieu, tout en lumière tamisée, est idéale pour un avant ou un après théâtre, nombreux dans ce coin du 9ème, mais aussi pour, un tête à tête, un repas entre amis ou un déjeuner avec une formule attractive, dont les plats changent chaque jour.
Le 23 Clauzel, la recherche de l'excellence
Une cuisine féminine, une haute exigence dans le service, un décor baroque chic ; pour sa 4ème affaire Julie Rivière a créé un univers qui lui ressemble en quête d’une ambition non dissimulée : l’obtention d’une étoile Michelin.
Elle dit entretenir un rapport fusionnel avec sa cuisine et n’a pas peur de s’enfermer tous les après-midi, durant 3 mois, à la recherche d’une recette inédite de macaron. Julie Rivière, l’autodidacte qui a appris au côté de sa mère, chef dans le Sud-ouest, s’est entourée d’un second, formé chez les plus grands étoilés (Guy Savoy, Grand Véfour, Lucas Carton). Ce duo complémentaire propose une cuisine épurée où le produit n’est pas dénaturé mais sublimé. Les noix de Saint-Jacques sont cuites meunière et servies avec truffes de Bourgogne sur une tombée d’épinards sautés minute. Le chef aime cuisiner les légumes anciens ou les poissons et fuit les plats en sauce. Sa Daurade est servie avec une mosaïque de légumes et une tappenade d’olives noires. Elle dit de sa cuisine qu’elle est assez féminine, entendre légère, mais propose tout de même un filet de bœuf avec escalope de foie gras poêlée, truffes et gratin aux pommes de terre.
Sensible à l’éducation du palais, elle mise sur un assaisonnement parfait, point de salière sur les tables, chez Julie Rivière il faut d’abord goûter avant d’oser réclamer l’or blanc et le poivre. La recherche d’harmonie, autre maître mot du lieu, pousse à changer la carte des vins en même temps que celle des plats, trois fois par an donc. Il s’agit d’une cave prestige où l’on trouvera toujours un Château Margaux, un Pomerol, un Volnay ou encore un Puligny Montrachet.
La pâtisserie maison est tout simplement divine. On ne sait que choisir.
L’atmosphère du lieu, tout en lumière tamisée, est idéale pour un avant ou un après théâtre, nombreux dans ce coin du 9ème, mais aussi pour, un tête à tête, un repas entre amis ou un déjeuner avec une formule attractive, dont les plats changent chaque jour.
